This series explores the tensions between the familiar and the disturbing. What at first seems reassuring and comforting rapidly reveals a suffocating monotony. The compositions show female figures literally swallowed up by the images of the domestic, symbolising a female condition long reduced to the role of mother and caretaker of the home.
These images reflect a gradual erasure, in which women become part of the décor, indistinguishable from their environment. Far from being nostalgic, the series criticises the persistence of these models in today's society, particularly through phenomena such as soft wives.
Whispers of the Ordinary underlines the urgent need to re-examine these representations and to reclaim spaces of freedom for everyone beyond the household walls.
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Cette série explore la tension entre le familier et l’inquiétant. Ce qui semble d’abord rassurant et familier révèle rapidement une monotonie suffocante. Les compositions montrent des figures féminines littéralement englouties par les images de la maison, symbolisant une condition féminine longtemps réduite au rôle de mère et de gardienne du foyer.
Ces images traduisent un effacement progressif, où la femme devient un élément du décor, indiscernable de son environnement. Loin d’être nostalgique, la série critique la persistance de ces modèles dans la société actuelle, notamment à travers des phénomènes comme celui des soft wives (”épouses douces”).
Souffles ordinaires souligne l’urgence de réinterroger ces représentations et de reconquérir des espaces de liberté pour chaqu’un.e au-delà des murs domestiques.
These images reflect a gradual erasure, in which women become part of the décor, indistinguishable from their environment. Far from being nostalgic, the series criticises the persistence of these models in today's society, particularly through phenomena such as soft wives.
Whispers of the Ordinary underlines the urgent need to re-examine these representations and to reclaim spaces of freedom for everyone beyond the household walls.
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Cette série explore la tension entre le familier et l’inquiétant. Ce qui semble d’abord rassurant et familier révèle rapidement une monotonie suffocante. Les compositions montrent des figures féminines littéralement englouties par les images de la maison, symbolisant une condition féminine longtemps réduite au rôle de mère et de gardienne du foyer.
Ces images traduisent un effacement progressif, où la femme devient un élément du décor, indiscernable de son environnement. Loin d’être nostalgique, la série critique la persistance de ces modèles dans la société actuelle, notamment à travers des phénomènes comme celui des soft wives (”épouses douces”).
Souffles ordinaires souligne l’urgence de réinterroger ces représentations et de reconquérir des espaces de liberté pour chaqu’un.e au-delà des murs domestiques.
Série d’une dizaine d’œuvres.
Photocollages, archives Pénéla, 42 x 29,7 cm.
Photocollages, archives Pénéla, 42 x 29,7 cm.